UNE HISTOIRE FAMILIALE

Château Tessendey est dans les mains de la famille d’Arfeuille depuis 1972. Martine et Paul-Bernard d’Arfeuille engagent à cette époque un vaste programme de rénovation du vignoble et des chais. Tessendey se fait peu à peu un nom.

Les d’Arfeuille sont loin d’être étrangers au monde du vin. Présents dans le Libournais depuis le 18e siècle, ils veillent au cours du 20e siècle sur les châteaux Toumalin (Fronsac) et La Pointe (Pomerol) tout en développant une activité de négoce sur les quais de Libourne. Martine d’Arfeuille sera également copropriétaire de Cheval Blanc, Premier Grand Cru Classé de Saint-Emilion. Elle siègera au conseil de gérance jusqu’à la vente du cru en 1998.

 

En 2012, quarante ans après ses parents, Arnaud d’Arfeuille prend Tessendey en mains. Avec l’aide de son frère, il pose de nouvelles ambitions pour le domaine, restructure certaines parcelles, perfectionne le processus d’élevage. Arnaud intervient également dans la gestion du Château La Serre, Grand Cru Classé de Saint-Emilion et propriété de son oncle, Luc d’Arfeuille. L’envie de bien faire est un héritage familial.

TERROIR DE CHARME

Des tapis de roses et de lavandes, des chemins qui courent dans les coteaux, des vignes qui s’entrecroisent dans un horizon de chênes et de pins : à quelques centaines de mètres du clocher de Saillans, Tessendey offre au visiteur le charme d’un grand jardin.

Mais le plus beau est peut-être en dessous. Le vignoble est posé sur un sol d’argile et de roche calcaire. Sur ce terroir typique de Fronsac, le Merlot fait merveille. Il exprime une puissance et une fraîcheur naturelle. Ici, même dans les millésimes les plus solaires, les merlots ne sont jamais lourds.

Le merlot occupe 75% du vignoble de Tessendey. Il est secondé par le cabernet-franc qui a trouvé place dans les terres les plus chaudes. Tout autour du château, les parcelles forment un ensemble homogène de 9 hectares. Depuis le jardin, la vue de ses versants ensoleillés est à couper le souffle.

Château Tessendey en images

LE STYLE

Des vins élégants, des vins accessibles, des vins gourmands : voici la feuille de route tracée par la propriété. A ces qualités, il faut ajouter celles qui s’expriment naturellement sur les terres argileuses de Fronsac : une phénoménale richesse en tanins et un grand potentiel de garde.

 

Tout le travail d’Arnaud d’Arfeuille et du consultant Thomas Duclos consiste à dompter cette puissance naturelle. Obtenir un grain soyeux est une priorité. Les tannins sont affinés par un séjour de 15 mois en barriques. L’élevage veille également à préserver l’originalité des notes minérales et le naturel du fruit.

 

Cette exigence de précision ne vaut pas simplement pour l’élevage. Elle s’applique avant tout au vignoble qui est littéralement jardiné tout au long de l’année. L’art du jardin, comme le souci de l’élégance, est bien une tradition familiale.

UNE HISTOIRE FAMILIALE

Château Tessendey est dans les mains de la famille d’Arfeuille depuis 1972. Martine et Paul-Bernard d’Arfeuille engagent à cette époque un vaste programme de rénovation du vignoble et des chais. Tessendey se fait peu à peu un nom.

Les d’Arfeuille sont loin d’être étrangers au monde du vin. Présents dans le Libournais depuis le 18e siècle, ils veillent au cours du 20e siècle sur les châteaux Toumalin (Fronsac) et La Pointe (Pomerol) tout en développant une activité de négoce sur les quais de Libourne. Martine d’Arfeuille sera également copropriétaire de Cheval Blanc, Premier Grand Cru Classé de Saint-Emilion. Elle siègera au conseil de gérance jusqu’à la vente du cru en 1998.

 

En 2012, quarante ans après ses parents, Arnaud d’Arfeuille prend Tessendey en mains. Avec l’aide de son frère, il pose de nouvelles ambitions pour le domaine, restructure certaines parcelles, perfectionne le processus d’élevage. Arnaud intervient également dans la gestion du Château La Serre, Grand Cru Classé de Saint-Emilion et propriété de son oncle, Luc d’Arfeuille. L’envie de bien faire est un héritage familial.

TERROIR DE CHARME

Des tapis de roses et de lavandes, des chemins qui courent dans les coteaux, des vignes qui s’entrecroisent dans un horizon de chênes et de pins : à quelques centaines de mètres du clocher de Saillans, Tessendey offre au visiteur le charme d’un grand jardin.

Mais le plus beau est peut-être en dessous. Le vignoble est posé sur un sol d’argile et de roche calcaire. Sur ce terroir typique de Fronsac, le Merlot fait merveille. Il exprime une puissance et une fraîcheur naturelle. Ici, même dans les millésimes les plus solaires, les merlots ne sont jamais lourds.

Le merlot occupe 75% du vignoble de Tessendey. Il est secondé par le cabernet-franc qui a trouvé place dans les terres les plus chaudes. Tout autour du château, les parcelles forment un ensemble homogène de 9 hectares. Depuis le jardin, la vue de ses versants ensoleillés est à couper le souffle.

Château Tessendey en images

LE STYLE

Des vins élégants, des vins accessibles, des vins gourmands : voici la feuille de route tracée par la propriété. A ces qualités, il faut ajouter celles qui s’expriment naturellement sur les terres argileuses de Fronsac : une phénoménale richesse en tanins et un grand potentiel de garde.

 

Tout le travail d’Arnaud d’Arfeuille et du consultant Thomas Duclos consiste à dompter cette puissance naturelle. Obtenir un grain soyeux est une priorité. Les tannins sont affinés par un séjour de 15 mois en barriques. L’élevage veille également à préserver l’originalité des notes minérales et le naturel du fruit.

 

Cette exigence de précision ne vaut pas simplement pour l’élevage. Elle s’applique avant tout au vignoble qui est littéralement jardiné tout au long de l’année. L’art du jardin, comme le souci de l’élégance, est bien une tradition familiale.

UNE HISTOIRE FAMILIALE

Château Tessendey est dans les mains de la famille d’Arfeuille depuis 1972. Martine et Paul-Bernard d’Arfeuille engagent à cette époque un vaste programme de rénovation du vignoble et des chais. Tessendey se fait peu à peu un nom.

Les d’Arfeuille sont loin d’être étrangers au monde du vin. Présents dans le Libournais depuis le 18e siècle, ils veillent au cours du 20e siècle sur les châteaux Toumalin (Fronsac) et La Pointe (Pomerol) tout en développant une activité de négoce sur les quais de Libourne. Martine d’Arfeuille sera également copropriétaire de Cheval Blanc, Premier Grand Cru Classé de Saint-Emilion. Elle siègera au conseil de gérance jusqu’à la vente du cru en 1998.

 

En 2012, quarante ans après ses parents, Arnaud d’Arfeuille prend Tessendey en mains. Avec l’aide de son frère, il pose de nouvelles ambitions pour le domaine, restructure certaines parcelles, perfectionne le processus d’élevage. Arnaud intervient également dans la gestion du Château La Serre, Grand Cru Classé de Saint-Emilion et propriété de son oncle, Luc d’Arfeuille. L’envie de bien faire est un héritage familial.

TERROIR DE CHARME

Des tapis de roses et de lavandes, des chemins qui courent dans les coteaux, des vignes qui s’entrecroisent dans un horizon de chênes et de pins : à quelques centaines de mètres du clocher de Saillans, Tessendey offre au visiteur le charme d’un grand jardin.

Mais le plus beau est peut-être en dessous. Le vignoble est posé sur un sol d’argile et de roche calcaire. Sur ce terroir typique de Fronsac, le Merlot fait merveille. Il exprime une puissance et une fraîcheur naturelle. Ici, même dans les millésimes les plus solaires, les merlots ne sont jamais lourds.

Le merlot occupe 75% du vignoble de Tessendey. Il est secondé par le cabernet-franc qui a trouvé place dans les terres les plus chaudes. Tout autour du château, les parcelles forment un ensemble homogène de 9 hectares. Depuis le jardin, la vue de ses versants ensoleillés est à couper le souffle.

Château Tessendey en images

LE STYLE

Des vins élégants, des vins accessibles, des vins gourmands : voici la feuille de route tracée par la propriété. A ces qualités, il faut ajouter celles qui s’expriment naturellement sur les terres argileuses de Fronsac : une phénoménale richesse en tanins et un grand potentiel de garde.

 

Tout le travail d’Arnaud d’Arfeuille et du consultant Thomas Duclos consiste à dompter cette puissance naturelle. Obtenir un grain soyeux est une priorité. Les tannins sont affinés par un séjour de 15 mois en barriques. L’élevage veille également à préserver l’originalité des notes minérales et le naturel du fruit.

 

Cette exigence de précision ne vaut pas simplement pour l’élevage. Elle s’applique avant tout au vignoble qui est littéralement jardiné tout au long de l’année. L’art du jardin, comme le souci de l’élégance, est bien une tradition familiale.